Aujourd’hui je te parle du tome 2 des 𝕮𝖔𝖓𝖙𝖊𝖘 𝖉𝖊𝖘 𝕽𝖔𝖄𝖆𝖚𝖒𝖊𝖘 𝕺𝖚𝖇𝖑𝖎𝖊𝖘, 𝔏𝔢 𝔓𝔯𝔦𝔫𝔠𝔢 ℭ𝔜𝔤𝔫𝔢 d’Isabelle Lesteplume aux Éditions Bookmark
𝕮𝖔𝖓𝖙𝖊𝖘 𝖉𝖊𝖘 𝕽𝖔𝖄𝖆𝖚𝖒𝖊𝖘 𝕺𝖚𝖇𝖑𝖎𝖊𝖘 T2
Il était une fois deux royaumes amis, que la disparition d’un prince précipita dans une guerre sans merci. Dix ans plus tard, Siegfried, héritier du trône, écrasé par ses responsabilités et déchiré par la perte de ses proches, fuit la bataille en s’engouffrant dans une forêt dite maudite. Il y rencontre Ode, un jeune homme ensorcelé, cygne le jour, humain la nuit, dont le visage lui semble étrangement familier. Qu’est-il réellement arrivé au prince disparu ? Quel rapport avec ce bal dont Siegfried ne cesse de rêver ? Alors qu’ils se penchent sur ces mystères, une ombre rôde, tout près. Humain ou monstre, souvenir ou simple cauchemar, derrière tout cygne blanc se trouve un cygne noir…
➼ 𝙼𝙾𝙽 𝙰𝚅𝙸𝚂
Cette revisite, je ne pense pas exagérer en affirmant qu’il s’agit là de ma préférée ! De tous les temps !
J’avais adoooré le premier tome des 𝕮𝖔𝖓𝖙𝖊𝖘 𝖉𝖊𝖘 𝕽𝖔𝖄𝖆𝖚𝖒𝖊𝖘 𝕺𝖚𝖇𝖑𝖎𝖊𝖘 mais ce tome-ci, encore plus.
Il est a noté que le livre est plus épais que le précédent, on passe donc plus de temps avec la plume de l’auteure, pour notre plus grand plaisir. Je te l’ai dit avec le premier livre, le style est magnifique et vraiment immersif.
Mais surtout, comme je te le disais : il n’y a pas plus belle que cette revisite. En une romance MM, tu t’en doutes, mais tout en poésie. Siegfried et Ode sont incroyables et les choix de la revisite, encore plus.
L’auteure a un talent fou pour le retelling.
Isabelle Lesteplume est très très créative, autant sur le fond que sur la forme.
C’est sans surprise que je te recommande la série si tu ne l’as pas encore commencée.
Modernité, lignes épurées, simplicité, tu as sans doute déjà vu ou entendu parler des étagères, lampes et bibliothèques TEEbooks. Si ce n’est pas le cas, je t’invite à te rendre d’urgence sur leur site : teebooks.com.
photo teebooks.com
photo teebooks.com
photo teebooks.com
TEEbooks est une marque niçoise et tu trouveras sur le site un large choix de bibliothèques, de supports photos et CD, de lampes, d’étagères, d’étagères murales, de rangements pour vinyles ou encore pour la cuisine ou la salle de bain. Des objets du quotidien, certes, mais élevés de courbes design et d’élégance. Fabriquées en Italie, les étagères TEEbooks sont l’expression du designer Mauro Canfori. Une simplicité apparente qui est en réalité travaillée et pensée afin d’apporter une promesse de fonctionnalité et de fiabilité à leurs produits.
Mais qu’en est-il vraiment ?
J’ai eu la chance de me voir proposer une collaboration avec la marque et ainsi pouvoir tester le produit de mon choix parmi ces designs tous plus sympas les uns que les autres. Je remercie évidemment chaudement TEEbooks pour cette chance.
Aussi, tu l’as compris, je t’ai un peu briefé sur la marque mais je vais maintenant te donner mon avis sincère et un retour de mon expérience. Une expérience très positive, voire excellente pour le moment. Je n’ai jusque-là eu à faire, par mails et sur les réseaux sociaux, qu’à des personnes chaleureuses, accueillantes, investies et motivées. Des échanges très agréables qui ont participé à ce que j’accepte leur offre. Mais, entre nous, qui aurais-je été pour refuser ? Leurs étagères sont canons.
Si tu me suis sur Instagram, tu le sais probablement déjà, j’ai porté mon dévolu sur leurs étagères murales et plus précisément mon choix sur les étagères asymétriques.
UnboxingÉtagères murales asymétriques
Pour tout te dire, le minimalisme proposé par TEEbooks m’avait séduite bien avant l’opportunité qui m’a été offerte. J’ai ce petit côté maniaque que tu connais très bien et leur design répond parfaitement à ce que j’aime.
L’horizon se présentait avec le plus beau des levés de soleil.
➼➽➼ Mon avis
Bien, je te l’ai dit plus haut, la communication avec l’équipe est très très sympa. Mais ce qui m’a très vite bluffé est la rapidité d’expédition et la qualité de livraison. La situation étant telle qu’on la connaît actuellement, on a tous pas mal multiplié les commandes à distance et parfois -souvent- les problèmes de livraison… Première surprise, et première bonne surprise : il n’a pas fallu une semaine pour que je reçoive mon colis, en 3 jours ouvrés il était là. Et visiblement transporté avec soin.
Je dis ça mais, les articles sont emballés individuellement et sont d’une excellente qualité. On sent dès l’unboxing la solidité des étagères, leur fiabilité dans le temps. Elles sont de finition fine mais sacrément costaudes ! Je les imaginais solides, bien entendu, mais j’ai quand même été étonnée par leur robustesse. Elles font leurs poids de petites râblées, les gaillardes !
Toutefois, ne prends pas peur, elles ne sont pas excessivement lourdes et leur fixation au mur est aisée.
La simplicité de leurs lignes est aussi pensée pour cela. La visserie étant fournie avec les étagères, je n’ai finalement eu à me soucier que de leur bonne position. L’intention est d’avoir une fixation simple et pratique. C’est réussi.
***
Du coup, ça y est, les étagères sont au mur et depuis, je me suis déjà bien amusée à les charger et à les mettre en scène. Autant pour confirmer leur résistance, c’est le cas, que pour tester les possibilités esthétiques. J’ai fait quelques photos pour l’article et j’en posterai d’autres sur Instagram.
C’est mon nouveau terrain de jeu. Le champ des possibles est énorme avec ces étagères. Puis il y a l’option de les combiner avec d’autres étagères, ou pas, car déjà elles subliment un mur telles quelles.
***
Bien, bien, bien. Il est temps d’aborder la question qui fâche. Le prix. Si tu es allé.e faire un tour sur le site, effectivement, je suis d’accord, certaines bibliothèques notamment ne sont pas données.
Comme toi, j’ai beaucoup flâné sur le site. Et il y a quand même du choix pour tous les budgets. Et pour avoir pu manipuler et juger du métal, et du design, je pense que le prix se vaut vraiment.
➼ Mon coup de cœur
Mon coup de cœur -en plus de l’esthétique-, c’est la polyvalence des étagères. Après mes quelques tests, mon verdict est simple : elles se prêtent vraiment à tout.
Ces étagères peuvent être en elles-mêmes l’objet central de la décoration ET ces mêmes étagères peuvent briller par leur totale invisibilité. En soi c’est paradoxal mais, force est de le constater, c’est du génie.
Donc, ÉVIDEMMENT, je te conseille les produits TEEbooks. De leurs lignes singulières à leur solidité, je valide et je suis fan. Et, j’y pense, tu devrais également jeter un œil à la gamme TEEpots, consacrée aux plantes, j’aime beaucoup.
Je ne saurai assez remercier l’équipe pour la chance qui m’a été donnée. Je suis plus que ravie des étagères asymétriques. Belles et plurifonctionnelles, elles ont vraiment LE truc en plus.
Même RoeignsBD est sous le charme du design TEEbooks. On envisage déjà de futures commandes pour d’autres espaces de la maison. Et comprends par là que : nous nous disputons déjà sur deux idées, l’une pour lui, l’autre pour moi, de combinaisons d’étagères. Qui aura le dernier mot ? Ahah, je te montre ce sur quoi nous lorgnons, dis-moi ce que tu en penses dans les commentaires :
photo teebooks.com
photo teebooks.com
Je te laisse là-dessus, même si je pense te reparler de TEEbooks bientôt. Et voici quelques liens où les suivre :
Aujourd’hui je te parle du premier tome de la série Un lien invisible de Garrett Leigh aux Éditions Bookmark. Aussi, je remercie les Éditions Bookmark pour l’envoi de ce titre.
Métamorphes, Soldats, Homoromance
Il n’est pas un loup.
Dévasté par la mort de sa meilleure amie, Zio est un soldat qui n’a qu’une chose en tête : la vengeance. Consumé par un conflit qui fait rage depuis sa naissance, il n’a eu ni le temps ni l’envie d’apprendre les légendes du monde des métamorphes dans lequel il a été élevé. Et il n’a certainement pas de temps à accorder à un métamorphe d’une autre race, même pour sa meute.
Ne pas faire de mal ; donner la vie et non la mort : c’est le serment pour lequel Devan a juré de vivre après sa renaissance. Alors, quand il est envoyé à l’étranger pour être intégré à une meute de loups en tant que guérisseur résident, il n’hésite pas. Dans le monde surnaturel, certains liens sont instantanés : les soldats deviennent des frères, la meute devient une famille. Mais d’autres sont plus profonds encore et, bientôt, Devan se retrouve à la merci d’instincts qu’il ne peut contrôler.
Alors que la guerre s’intensifie, les batailles du cœur pourraient s’avérer les plus difficiles de toutes. Je ne le laisserai pas mourir.
➼ 𝙻’𝙷𝙸𝚂𝚃𝙾𝙸𝚁𝙴
Le moins que je puisse te dire est que cette romance métamorphe MM a bien failli avoir ma peau. J’ai cru décéder de frustration, mais de cette frustration qui fait tourner les pages ! Investie de ma nouvelle mission : comprendre, j’ai dévoré chaque page. Puis le besoin de comprendre a mué en une douloureuse empathie pour les personnages. Quelle lecture !
Dans un univers entre métamorphes et guerre ambiante, j’ai passé la première partie du titre à espérer des réponses, qui ne venaient pas. L’auteure était bien décidée de jouer avec mes nerfs. L’impression est comparable à celle de regarder une pièce au travers d’une serrure. Dans un vrai flou artistique une guerre divise le monde et c’est dans ce flou que nous faisons la connaissance de Devan, mystérieux métamorphe guérisseur qui doit quitter sa meute La Meute de l’Ombre pour rejoindre une autre meute en Europe qui, malheureusement, a perdu sa guérisseuse.
Et puisque ce titre est un double points de vue, nous faisons parallèlement connaissance avec Zio, membre de ladite meute et qui vient de perdre sa meilleure amie, Emma, la guérisseuse. Zio est un soldat et lui-aussi un métamorphe, et plus précisément : un loup.
Bien entendu, dès leur première rencontre, l’attraction est indéniable entre Devan et Zio. Elle est aussi ce qui va tenir les deux hommes sur leurs gardes. Les questions s’accumulent.
Pourquoi, quoi, comment, les interrogations ne manquent pas autour du background et des personnages eux-mêmes.
➼ 𝙻𝙴𝚂 𝙿𝙴𝚁𝚂𝙾𝙽𝙽𝙰𝙶𝙴𝚂
C’est au travers de cette serrure que nous découvrons la peine rencontrée par Zio après la perte d’Emma et à travers les yeux de Devan que nous tâtonnons afin de comprendre cette nouvelle meute. Ce n’est facile ni pour l’un ni pour l’autre.
Mais c’est Devan qui, le premier, allait me rendre folle. Impossible de savoir -de toute la première moitié de la lecture- la nature de la bête en lui ! Comment Garrett Leigh peut-elle détester autant ses lecteurs !? Je me consumais du désir de savoir, littéralement.
Mais ce n’était rien comparé à ce qui m’attendait, ce que j’allais ressentir envers les personnages et leur lien contrarié. Entre frustrations et obsessions j’ai saigné pour et avec eux, et ils n’ont pas été épargnés. Pas du tout. Personne, d’ailleurs.
➼ 𝙼𝙾𝙽 𝚁𝙴𝚂𝚂𝙴𝙽𝚃𝙸
J’ai l’impression de ne faire que me plaindre, mais j’ai adoré endurer toutes ces frustrations. Elles ont été ici très addictives. Et puis, cette serrure, ce flou, tout cet effet va s’expliquer. Sans trop spoiler, les choses vont se ceindre autour de Zio et tout va s’éclairer.
Tout comme découvrir combien les propos échangés en début de tomes n’étaient pas vains, j’ai beaucoup aimé la manière dont Garrett Leigh a instrumentalisé le développement.
Ce fut une lecture sous la forme d’une quête effrénée de réponses et d’une résolution positive au dilemme des personnages. Une épreuve grisante qui s’est achevée sur un coup de cœur.
Aujourd’hui je te parle du troisième tome de la série Holmes & Moriarity de Josh Lanyon aux Éditions Bookmark. C’est avec joie que j’ai retrouvé Kit et F.X. dans ce nouveau tome. Holmes & Moriarity est une série d’enquêtes, de meurtres et de mystères pour laquelle j’avais déjà un très gros faible. Mais ce tome, vraiment, il est riche en surprises ! Avec Un mort bien mort Josh Lanyon a comblé mes attentes et bien davantage. Si tu n’as pas lu les tomes précédents, je te déconseille de lire la chronique au complet, des spoilers sont à craindre.
Format eBook • Broché à paraître mi-mars 2021
L’heure du déménagement a sonné. Contre toute attente, et malgré la réticence de Kit, J.X. et lui emménagent ensemble. Mais pendant que J.X. est en train d’assister à une conférence d’écriture, Kit ouvre une caisse qui n’aurait dû contenir que de vieux livres ou de la nouvelle vaisselle. Ce n’est pas le cas. Entre les boules de polystyrène vertes se trouve un corps, un corps plus mort que mort.
Super façon de commencer leur nouvelle vie !
➼ 𝙻’𝙷𝙸𝚂𝚃𝙾𝙸𝚁𝙴
Kit et J.X. emménagent ensemble. On y est. Ça surprend, et bien évidemment Kit a du mal à se faire à l’idée ~entre autres autres choses auxquelles il doit faire face. Déjà là, il est entendu que c’est la grosse affaire, Kit étant ce qu’il est. Et si on ajoute à cela la dissolution lente de sa carrière d’auteur, alors que celle de J.X. s’envole, qu’il se fait vieux, que son dos le fait souffrir, et l’omniprésence de la « famille » de J.X., oh et la découverte d’un cadavre. Hmm ? Oui, oui, un cadavre. Depuis quand c’est anormal ? Voyons. Mais ce qui l’est plus est la présence d’un harceleur qui rode autour de Kit. Bref, ça en fait des choses, non ?
Le tome va être intense et le ton est donné dès les premières pages. Retrouver les personnages est déjà un plaisir mais avec toutes les problématiques qui se dressent autour d’eux, ça ne l’est pas moins ! Josh Lanyon a son style et son rythme et j’en suis toujours aussi fan. Si l’intrigue est pas mal, je ne vais pas vous cacher que -dans ce tome- c’est l’angle plus personnel que je cherchais. J’ai été exaucée.
➼ 𝙻𝙴𝚂 𝙿𝙴𝚁𝚂𝙾𝙽𝙽𝙰𝙶𝙴𝚂
Je n’attendais qu’une chose après avoir refermé le tome 2, en découvrir un peu plus sur l’ex-policier. En effet J.X. restait encore un mystère pour moi et j’ai été surprise que pour Kit aussi. Dans ce troisième tome de la série, on le perce à jour, suffisamment pour que, lorsque les choses tournent mal entre les deux hommes, on prenne partie pour lui. Pour rappel, c’est Kit qui est le narrateur, mais il a ses insécurités et sa petite personnalité, pour ne pas dire son petit caractère.
En parlant des personnages, on en découvre pas mal sur les proches respectifs de Kit et J.X.. Mais tout particulièrement sur le passé toujours présent du dernier. Si tu te rappelles, l’ex-policier avait femme et enfant, enfin, pas tout à fait, ou si, mais c’est compliqué. Évidemment tu t’en rappelles, et comme Kit tu vas difficilement oublier. Ahah.
Et tout cela te fait peut-être penser à Adrien English (une autre série de Josh Lanyon) et là-aussi tu te souviens peut-être de la mention du libraire et auteur précédemment dans Holmes & Moriarity ? La mention avait suffi à me faire fangirler, dans ce tome, Adrien fait carrément son apparition. Et pas si courte. Et pas tout seul. J’ai envie de sautiller en te donnant tous les noms et les détails, mais je ne peux pas. Je peux juste te dire que ça m’a totalement satisfaite. J’étais aux anges. Je suis bien trop accro à Adrien English, sorry not sorry.
Bon, il faut que je revienne au sujet de cet avis, à Holmes et Moriarity. Un peu de concentration. Car ce tome, je l’ai vraiment adoré. J’ai tellement aimé voir évoluer les personnages dans leur relation (non sans atteindre quelques Darwinismes et points Godwin, façon de parler). Au fond, ils sont si adorables, comment ne pas craquer pour eux ?
J’ai aussi beaucoup ri, surtout avec cette façon qu’a Kit de diaboliser le petit Gage… (à raison? Ahahah) En tout cas, ça vaut le détour.
➼ 𝙼𝙾𝙽 𝚁𝙴𝚂𝚂𝙴𝙽𝚃𝙸
Un tome incroyable. Actuellement, mon préféré de la série. Ce tome est extrêmement riche. Je suis passée par toutes les émotions, même les plus improbables et inattendues.
Par contre, cet extrait du tome 4, je n’étais PAS PRÊTE !
Alerte petit bijou. Je répète, alerte petit bijou ! Si tu me suis sur Instagram, je t’en ai parlé, et tu sais déjà à quel point j’ai aimé ce titre. Aujourd’hui je te parle de Painting Stars T& de Maandi Eelis aux Éditions de l’Opportun | Nisha et caetera
Format broché • 393p • Prix Broché 16€90 • Prix eBook 7€99
Adam est un jeune homme anxieux et solitaire qui n’aime ni le soleil ni les contacts humains. Sa seule passion ? Dessiner des paysages et des étoiles, seul dans sa bulle. Cet été, il doit suivre ses parents dans leur maison de campagne sous le soleil méditerranéen, et c’est peu dire que cette perspective ne l’enchante pas… Mais Adam ne se doute pas que ces vacances vont bouleverser sa vie et lui faire découvrir un arc-en-ciel jamais vu dans son monde tout en nuances de gris. A peine arrivé, il fait la rencontre de Loup, un garçon aussi solaire que lui est timide. Loup va l’aider tout en douceur à dépasser ses limites, à sortir de sa zone de confort. Et bien plus encore… Une histoire entre les jeunes hommes est-elle possible ? N’est-elle forcément que l’histoire d’un été ? Adam est-il enfin prêt à découvrir celui qu’il est vraiment ?
➼ 𝙼𝙾𝙽 𝙰𝚅𝙸𝚂
Le résumé m’attirait énormément. C’est une romance MM et forcément, j’avais très envie de la découvrir. Déjà fort de son succès sur Wattpad, c’est chez Nisha et caetera que le titre devient roman. Ou plutôt romanS.
L’auteure retrouve donc ses lecteurs avec ce tome 1 de 𝓟𝓪𝓲𝓷𝓽𝓲𝓷𝓰 𝓢𝓽𝓪𝓻𝓼 et s’en assure de nouveaux, dont je fais partie. Et j’ai été conquise par la beauté et la douceur de ce titre. Et la couverture, on en parle ? Je suis sûre que toi aussi tu la trouves superbe. Elle EST superbe. Une première impression bien confirmée avec la lecture de ce tome 1.
Un seul problème, j’avais un peu peur que ce titre fasse trop écho à Call me by your name. Les vacances, le soleil, la rencontre. Les questionnements, aimer un garçon. En toute franchise, cette idée m’a traversé l’esprit, mais c’était avant de rencontrer les personnages et leur histoire. Adam et Loup ont leur histoire et leur identité propre et, quitte à jouer la franchise jusqu’au bout, j’ai même préféré ce titre à Call me by your name. Exit mes doutes.
« Je suis incapable de vivre et pourtant incapable de mourir. Alors je survis. »
Ce qui importe le plus pour moi, ce sont les personnages. M’immerger pleinement avec eux. Et pour le coup, l’auteure m’a ravie. Elle nous offre des personnages plein de justesse et avec des personnalités qui ne laisse pas indifférents. L’auteure nous entraîne d’abord sur une valeur sûre de la romance, les opposés, le jour et la nuit, quoi que… pas tant que ça. Adam et Loup sont vraiment très très attachants, je me suis surprise moi-même d’avoir succombé à ce point aux profils de ces derniers. J’ai eu un gros coup de cœur pour eux et tout particulièrement pour Adam. Sa fragilité, son développement. La place de Loup dans celui-ci.
Il y a de l’inattendu. Certaines romances peuvent paraître bien ternes à côté de la relation entre Loup et Adam. Il y a de la douceur, des couleurs, de la réciprocité. Évidemment, les questionnements consacrés sont présents, mais l’auteure les caresse si bien. C’est doux, tendre, accompagné d’une telle harmonie. Et puis surtout, SURTOUT, je souligne le point de vue artistique de ce titre. Cet angle est d’une poésie, c’est magique. Je te vois venir, je sais ce que tu vas me dire : que c’est normal. Eh bien, non. Non, non. L’effet m’a parfois mis les frissons ! D’une beauté.
Ma faiblesse, tu connais.
« Il est entré dans ma vie comme un éclair qui transperce la nuit. Et l’orage me terrifie. »
Je le mentionnais plus haut, j’aime la façon dont l’auteure aborde, non, dont l’auteure compose ses personnages, abordant leur histoire, l’amour, la confiance. C’est le nerf de la guerre, il faut croire. Ici, j’y ai cru. J’ai cru aux personnages et je pense que Mandi Eelis a énormément de talent. J’ai vécu cette lecture, chaque sentiment, c’était incroyable.
Évidemment, la fin du tome me laisse fébrile. Nous faire ça. J’ai besoin de la suite.
Mention spéciale pour la playlist. Je ne sais pas si tu aimes lire en musique, si oui, tu vas adorer. Pour ma part, je me suis servie de cette playlist pour réveiller les sentiments que m’ont laissé certains passages, et prolonger le plaisir. Je ne pouvais absolument pas quitter Adam et Loup comme ça, impossible.
Ce premier tome est sorti le 7 janvier, un conseil, un seul, FONCE.
Ma Twin m’avait dit : tu DOIS lire 𝕭𝖑𝖆𝖓𝖈-𝕹𝖊𝖎𝖌𝖊 & 𝖑𝖊 𝖒𝖎𝖗𝖔𝖎𝖗.
Après plusieurs coups cœur sur d’autres nouvelles de cette collection aux Éditions Bookmark, c’est ce que j’ai fait. J’ai donc fait une petite entorse à mon programme de lecture et lu cette revisite de conte écrite par Sam P. Caldron.
《 – Comment peux-tu savoir quelque chose que je ne sais pas moi-même ? Je pus voir son sourire glisser jusqu’au bout de ses doigts. – Parce que je suis le Miroir. – Tu es Aimé. – Aussi. 》
Nouvelle • Prix Broché 10€ • Prix eBook 2€99
Ma mère voulait une fille, aux cheveux noirs comme les ailes d’un corbeau et à la peau blanche aussi blanche que la neige. Elle l’aurait nommée Blanche-Neige. Mais à la place, elle m’eut moi, un garçon. Accrochée à son rêve devenu inaccessible elle me nomma Blanc-Neige. Peut-être que si j’avais été cette fille qu’elle désirait tant, si j’avais été cette Blanche-Neige, alors mon destin aurait-il été différent. Peut-être que je ne me serais pas retrouvé seul auprès d’un beau-père qui n’a désormais qu’une seule obsession : ma mort. Et, peut-être, aussi, que je ne serais pas tombé amoureux. De Lui.
➼ 𝙼𝙾𝙽 𝙰𝚅𝙸𝚂
Clairement, je suis fan de cette collection de nouvelles.
Ici encore j’ai été agréablement surprise par la direction prise par ce retelling.
Si la revisite perd en présence de certains marqueurs du conte, même s’ils ne disparaissent pas totalement, l’histoire gagne en originalité, en magie et en attachement envers les personnages.
J’ai beaucoup aimé suivre ces personnages dans leur courte fuite. Je suis absolument fan du Miroir, cette créature magique ❤.
Un retelling toujours trop court mais avec lequel j’ai encore passé un excellent moment. Un titre de plus qui m’a plu dans cette collection de nouvelles, je te la recommande vivement !
Tu l’avais deviné, ce coup de cœur de fin d’année est le tome 1 du 3ᴇᴍᴇ ʜᴇᴍɪꜱᴘʜᴇʀᴇ de Natasha Cornu chez Nisha et caetera aux Éditions de l’Opportun.
Format broché
Siobhan est une jeune femme de 25 ans qui mène une vie tout à fait ordinaire avec son mari avant d’être enlevée par un mystérieux inconnu. Elle se retrouve brutalement entraînée dans un monde qui lui est tout à fait étranger, au cœur d’un combat vieux de plusieurs siècles, qui oppose les Béotiens aux Hémisphèriens. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que, dans cette lutte impitoyable, elle est le Canalyseur, l’arme ultime.
➼ 𝙼𝙾𝙽 𝙰𝚅𝙸𝚂
Ma claque de fin d’année. Avec son univers absolument unique, ce premier tome est une déferlante qui m’a happée comme jamais.
Déjà je ne sais pas comment te définir ce titre. Une dark SFFF, une SFFF psychologique ? C’est unique, du jamais-vu. Du moins, je n’ai jamais rien lu de tel. RIEN.
Je le répète souvent, l’important c’est de vivre sa lecture. Là, crois-moi, tu peux difficilement passer à côté de celle-ci. Psychologiquement, c’est intense.
Non mais, qui fait ça ? Qui écrit ça ? Qui peut détester autant ses personnages ? Et si j’ai bien compris, c’est pire dans les autres tomes de la trilogie ? Je suis à la fois effrayée et grisée par cette idée.
Laisse-moi retenir ma respiration car, dans ce tome déjà, l’auteure n’épargne pas son monde. Je te mets au défi de ne jamais être surpris.e par les personnages. De glaçants, glacials à… non, vraiment, ils vont vous retourner le cerveau. C’en est même douloureux et énervant, avec cette envie de balancer le livre sur un personnage mais aussitôt suivie de celle de courir le ramasser pour lire la suite. Je ne sais à qui me fier, c’est déroutant.
Si je râle souvent de l’obstination des auteures à nous forcer de trouver leurs personnages badass, ici c’est peut-être aussi le cas, mais j’ai apprécié les vives émotions, les douleurs, les combats. À bien y réfléchir, je me suis sentie libre d’aimer et détester les personnages au fil des pages.
On passe d’un sentiment à l’autre.
Quelle atmosphère.
Toutefois, j’ai beau avoir été heurtée psychologiquement, l’auteure parvient à nous offrir aussi de bons moments. À l’image de tout le spectre qui anime les personnages, ta lecture passe par mille émotions, t’es pas prêt.e. Vraiment pas.
Je ne l’étais pas.
Et bien sûr, pour ne rien gâcher, c’est très très bien écrit.
Énorme coup de cœur, énorme claque. Il me faut la suite !!
Tous les sorciers sont maléfiques. Elisabeth, élevée au milieu des dangereux grimoires magiques d’une des Grandes Bibliothèques d’Austermeer, le sait depuis son plus jeune âge. D’ailleurs, peu de temps après le passage à la bibliothèque du sorcier Nathaniel Thorn, un des ouvrages se transforme en monstre de cuir et d’encre, semant mort et destruction. Et c’est Elisabeth qui se retrouve accusée de l’avoir libéré. Forcée de comparaître devant la justice à la capitale, elle se retrouve prise au cœur d’une conspiration vieille de plusieurs siècles. Bien malgré elle, elle n’a d’autre choix que de se tourner vers son ennemi Nathaniel, et son mystérieux serviteur, Silas. Car ce ne sont pas seulement les Grandes Bibliothèques qui sont en danger, mais le monde entier… et face à ce terrible complot, Elisabeth va devoir remettre en question tout ce qu’elle croyait jusqu’ici, y compris sur elle-même.
➼ 𝙼𝙾𝙽 𝙰𝚅𝙸𝚂
𝓒𝓸𝓾𝓹 𝓭𝓮 𝓬𝓸𝓮𝓾𝓻
Comment pouvait-il en être autrement ?
Elisabeth, l’héroïne, a grandit au milieu des livres d’une bibliothèque dans un univers envoûté du 19e siècle. Cela te plaît déjà ? Attends, le meilleur arrive. Les livres sont « vivants ».
J’ai beaucoup trop aimé l’univers et ses personnages. À commencer par Elisabeth, bien sûr, mais aussi ceux avec qui elle va devoir composer lorsque tout se retourne contre elle. Une inimitié qui va assez vite changer de couleur.
Sorcellerie, grimoires, nécromancie, complots, comme je te l’ai dit sans préambule, ce livre est un coup de cœur. Mais gardons un peu le mystère. Sauf peut-être pour les décors majestueux de ce roman, ils m’ont laissée rêveuse.
Il y a en ce titre ce petit truc en plus qui fait que, même une fois reposé sur le côté, on ne peut s’empêcher de repenser à l’univers.
Une originalité sur laquelle j’aurais bien glissé plus longtemps.
Sans surprise, je te le recommande très chaudement. Un petit bijou, à l’image de son univers.
J’ai terminé ᴜᴛᴏᴘɪᴀ de Victor-Emmanuel Brett chez @inceptioeditions et, quel excellent titre !
《 […] quelque chose m’a poussé à m’accrocher. La conviction pure et simple, limpide que mon rêve était à portée de main. Oui, l’Utopie échappera continuellement à l’Homme tant qu’il sera lui-même. Alors je le changerai. 》
Pages : 646 • Prix Broché : 19€90
Née des cendres de notre monde, l’Utopie règne sur Elysia. Le dernier refuge de l’Humanité où elle a prospéré au cours des deux derniers siècles. Une ville égalitaire, qui vise à combler chaque désir de son peuple. Où la guerre n’est plus qu’un lointain et mauvais souvenir. Où le bonheur est maître-mot. Caine et Elias sont deux jeunes hommes que tout oppose, si ce n’est une chose : ils vont avoir dix-huit ans. L’âge auquel Elysia leur ouvre ses portes. Leur chemin, loin d’être tracé, les projette alors vers des mondes radicalement différents. Des tours d’albâtres d’Elysia aux confins des contrées périlleuses, leurs découvertes réduiront à néant toutes leurs certitudes. À l’exception d’une seule : un secret se cache derrière l’Utopie.
➼ 𝙼𝙾𝙽 𝙰𝚅𝙸𝚂
ᴜᴛᴏᴘɪᴀ se classe vraiment dans une vision panoramique de la SFFF, plus qu’une dystopie le titre conjugue l’imaginaire.
L’écriture est très agréable. Fluide et investie, elle est très immersive. Victor Emmanuel Brett souligne sans fausse note chaque détail du monde qu’il a créé. Attention, tu vas en prendre plein les yeux. À l’image de sa superbe couverture, ce titre te réserve des lieux aussi étourdissants et singuliers que discordants. Visuellement, la claque.
Mais ᴜᴛᴏᴘɪᴀ se situe où la magie et la beauté de l’imaginaire rencontre la science-fiction et ses dévoiements. Malgré l’imaginaire, on retrouve dans ce titre le récit d’anticipation, la critique.
Elias et Caine sont des personnages très loin l’un de l’autre dans le spectre. L’un au profil proche du protagoniste idéal, l’autre plus proche de l’antagoniste-type. OK, ne m’écoute pas, c’est bien entendu un raccourci. Ce sont deux personnages très intéressants. Vraiment.
Ainsi les pions sont placés. Car Elias et Caine ont dix-huit ans et chacun son rôle à jouer dans la société. Pour l’un la lumière, pour l’autre la désillusion.
Tu la sentais venir, toi aussi, la réalité derrière la promesse qu’est Elysia… Que cache Elysia ? Que cache l’Utopie ?
Le choix de l’auteur pour ses personnages permet un réel jeu de perspectives. J’ai adoré, l’histoire est très addictive.
Je n’ai pas vu passer ses plus de 640 pages. Si tu aimes la dystopie et l’imaginaire YA, je te conseille vraiment de découvrir ᴜᴛᴏᴘɪᴀ.
Je remercie les éditions Inceptio pour l’envoi de ce titre.
C’est dans la SF YA que je croise mes plus gros coups de cœur de cet automne, et ce premier tome de la série 𝔽𝕒𝕚𝕥𝕙 𝔼𝕫𝕣𝕖𝕒𝕝 de Jupiter Phaeton en fait partie.
« Bon sang, Gary avait raison, on était des Moldus. Les Alters jouaient avec nos mémoires quand ça leur plaisait. C’était dingue. Tout ça ne me regardait pas. Tout ça ne me regardait absolument pas. Je n’allais pas du tout faire une névrose sur le sujet. Je n’allais pas me mettre à taper Alter sur le moteur de recherche de mon ordinateur, […]. »
FAITH EZREAL T1
Je vivais une vie bien tranquille jusqu’à ce que Logan Archer débarque sur le parking du lycée pour m’aider. Au-delà du fait que c’était LE type populaire de l’école, qu’il avait réussi à réparer ma voiture en si peu de temps que ça tenait presque de la magie, il fallait aussi avouer qu’il était mystérieux. Et mystérieusement magnifique aussi, mais ça c’était un détail. Il traînait toujours avec ses trois amis : Eter, silencieux comme une tombe, Emriel et Sierra, aussi adorables que talentueux. On pouvait dire que le quatuor brillait de mille feux, pire que des vampires en plein soleil. C’étaient des Alters, des êtres surnaturels vivant discrètement au milieu de la population humaine et qui disposaient de pouvoirs. Chose que j’avais apprise sans vraiment le vouloir. Peut-être que ma mère, qui travaillait au FBI, m’avait révélé l’existence des Alters. Peut-être que ma mère m’avait également dit de les fuir si j’en croisais. Et peut-être que j’avais fait de mon mieux pour rester loin de Logan, mais que ce dernier avait l’air réellement déterminé à foutre ma vie en l’air. Oh, ça partait d’une bonne intention. Jusqu’à ce que ça dérape.
➼ 𝙼𝙾𝙽 𝙰𝚅𝙸𝚂
Des lycéens, du surnaturel et le fait que cela parte en sucette… En vrai, il n’en fallait pas plus, j’étais dedans et je ne lâchais plus ce tome 1. Sauf que, voilà, il y a beaucoup plus dans ce titre.
J’ai émis l’idée que 𝔽𝕒𝕚𝕥𝕙 𝔼𝕫𝕣𝕖𝕒𝕝 devrait être une série portée sur les écrans, on m’a répondu que ça la dénaturerait sûrement, ce n’est pas faux, et qui a vraiment besoin de la mettre sur écran quand celle-ci est déjà si visuelle et graphique ?
L’énergie et les interactions entre les personnages sont très vives et instinctives. Comme je le disais, le visuel est très présents, le toucher aussi, en fait c’est très sensoriel. Cette facilité qu’à la plume de Jupiter Phaeton de donner vie aux choses, en plus d’être particulièrement spontanée et facile à lire.
Mais l’énorme détail qui a signé ma perte ? La magie ultra-graphique. Typiquement ce qui me cloue sur place, j’aime beaucoup trop.
𝔽𝕒𝕚𝕥𝕙 𝔼𝕫𝕣𝕖𝕒𝕝 est une série qui mêle efficacement mais surtout harmonieusement bien des éléments de l’imaginaire. Des personnages qui portent vraiment bien leurs originalités et, avec une fin comme celle de ce tome 1, et avec cette montée en badass de Faith, je suis bien contente d’avoir la suite sous la main !! (Encore merci❤️)
Je ne suis pas au bout de mes surprises, on me l’a confirmé, toutefois une chose est sûre : je te recommande cette série.