𝙲𝚑𝚛𝚘𝚗𝚒𝚚𝚞𝚎 | LES FAUCONS DE RAVERRA de Melissa Caruso

Bonjour,

Quand j’ai su que la saga sortait en poche, l’occasion était idéale pour la découvrir. Beaucoup l’avait aimée et je m’en voulais de ne pas avoir eu l’occasion de m’y plonger. Aussi, je remercie Bragelonne et le YA club pour l’envoie des Faucons de Raverra de Melissa Caruso.

Résumé T1

La magie est peu fréquente dans l’Empire raverrain, et ceux qui naissent avec ce pouvoir sont étroitement contrôlés : repérés dès l’enfance, ils se retrouvent enrôlés de force dans le régiment des Faucons.
Zaira a évité ce sort ; elle a grandi dans les rues en volant pour survivre et en dissimulant sa nature. Mais elle cache une magie rare et dangereuse, une magie qui pourrait menacer l’Empire tout entier.
Amalia Cornaro n’était pas destinée à devenir Fauconnière.
Héritière d’une puissante famille, érudite, elle vit dans le monde dangereux des machinations politiques. Mais le sort va réunir l’héritière et la sorcière en une alliance improbable.
Alors que la menace de la guerre se profile, il pourrait suffire d’une étincelle pour transformer leur cité en un brasier incandescent…

➼ 𝙼𝙾𝙽 𝙰𝚅𝙸𝚂

Déjà j’ai toujours été visuellement attirée par la saga, un visuel qui me donnait très envie de la connaître.
Et j’ai beaucoup aimé la découvrir avec la version poche.
C’est une saga menée par une chouette plume, qui s’introduit lentement mais qui, une fois posée, m’a aspirée. Ça a pris un peu de temps, la faute aux personnages je pense, mais la magnificence des décors m’a fait signer ! Il faut apprivoiser les personnages, c’est certain, mais l’auteure nous laisse ce temps. Attends, ce n’est pas long pour autant, l’intrigue plus politique que fantastique mène le jeu pour une grande partie. Et justement, j’ai bien aimé. Je trouve que c’était le choix le moins facile et l’auteure a bien mené l’émergence de ses effets.

La saga gagne en qualité, au fil des tomes. Avec un tome 2 qui m’a littéralement impressionnée, riche, qui monte d’un cran, et un tome trois qui suit le mouvement.

Bon… si j’avais déjà un petit grief quant aux personnages, la romance (les) m’a particulièrement frustrée. D’ailleurs ça va être ma question, ma #qotd si tu as lu la saga, frustré.e ou pas du tout ?

Cette saga a quand même été un vrai dépaysement, l’immersion attendue, j’en ai beaucoup aimé l’univers. Ce n’est pas un coup de cœur mais si tu n’as pas encore lu la saga, sa sortie en poche est le moment idéal pour tenter le coup.

∴ BONNE LECTURE ∴

𝙲𝚑𝚛𝚘𝚗𝚒𝚚𝚞𝚎 | Frère Wulf, L’Enlèvement de l’Épouvanteur de Joseph Delaney

Bonjour,

Aujourd’hui je te reparle d’un livre que j’ai lu il y a un petit moment déjà : Frère Wulf, L’Enlèvement de l’Épouvanteur de Joseph Delaney chez bayard | PageturnersRomans.

« Tu as pu constater à quel point il est dangereux de m’accompagner, et il te manque certaines compétences pour rester dans une relative sécurité face à l’obscur. Par chance, tu possèdes l’essentiel de ce qu’il faut à un apprenti épouvanteur. À l’époque où je cherchais un secrétaire, le prieur m’a assuré que c’était inscrit dans les archives du monastère : tu es le septième fils d’un septième fils. »
Frère Wulf, un jeune moine, doit espionner Johnson, un épouvanteur aux pratiques douteuses. Se faisant passer pour un scribe, Frère Wulf étudie le quotidien de son nouveau maître. Mais un jour, Johnson disparaît. Très inquiet, Wulf décide de chercher de l’aide. C’est donc au milieu de la nuit qu’il frappe à la porte d’une étrange maison, dont le propriétaire n’est autre que Tom Ward. Ensemble, les deux hommes partent affronter une puissante créature de l’obscur… Mais le chemin est long, et les dangers, nombreux.
Attention ! Histoire à ne pas lire la nuit.

➼ 𝙼𝙾𝙽 𝙰𝚅𝙸𝚂

Avec ce spin off de sa saga L’épouvanteur, Joseph Delaney nous replonge dans son univers. Pour tous les fans, c’est génial.

Ça l’est, mais… Bien sûr le titre apporte exactement ce que l’on attend : un nouveau personnage, tout frais tout neuf et plutôt doué. Toutefois, même si l’histoire change, le schéma n’est pas très très différent. Ça, c’est un peu le mal de toute saga qui met en scène les notions de douance, d’élu, de dons…

Bref, toi même tu sais.

Et en vérité, cela ne m’aurait pas tant dérangée si l’auteur ne nous avait pas laissé en plan et ne nous privait de certains de ses personnages les plus sympas. Heureusement, pas les principaux.

Je râle mais c’est quand même chouette de revenir à cet univers.
Je dois aussi admettre que c’est toujours plus agréable de ne pas avoir un personnage qui réussit tout, tout de suite, et c’est encore le cas ici avec Wulf.

Même si le schéma reste prévisible, je l’ai dit plus haut, la trinité épreuves/capacités/maîtrise monte plutôt crescendo.
Je reste pourtant en demi teinte depuis ma lecture. Je suis mitigée et c’est une des raisons à pourquoi j’ai tardé à poster mon avis.

Si tu l’as lu, tu en as pensé quoi ?

∴ UNE LECTURE MITIGÉE ∴

𝙲𝚑𝚛𝚘𝚗𝚒𝚚𝚞𝚎 | LA VIE INVISIBLE d’ADDIE LARUE de V.E. Schwab

Bonjour,

Aujourd’hui je te parle de La vie invisible d’Addie Larue de V.E. Schwab aux éditions LUMEN.

Une nuit de 1714, dans un moment de désespoir, une jeune femme avide de liberté scelle un pacte avec le diable. Mais si elle obtient le droit de vivre éternellement, en échange, personne ne pourra jamais plus se rappeler ni son nom ni son visage. La voilà condamnée à traverser les âges comme un fantôme, incapable de raconter son histoire, aussitôt effacée de la mémoire de tous ceux qui croisent sa route.
Ainsi commence une vie extraordinaire, faite de découvertes et d’aventures stupéfiantes, qui la mènent pendant plusieurs siècles de rencontres en rencontres, toujours éphémères, dans plusieurs pays d’Europe d’abord, puis dans le monde entier. Jusqu’au jour où elle pénètre dans une petite librairie à New York : et là, pour la première fois en trois cents ans, l’homme derrière le comptoir la reconnaît. Quelle peut donc bien être la raison de ce miracle ? Est-ce un piège ou un incroyable coup de chance ?
Embarquée dans un voyage à travers les époques et les continents, poursuivie par un démon lui-même fasciné par sa proie… jusqu’où Addie ira-t-elle pour laisser sa marque, enfin, sur le monde ?

➼ 𝙼𝙾𝙽 𝙰𝚅𝙸𝚂

L’amplitude de ce roman est énorme, ne serait-ce que par sa temporalité, c’est son gros point fort, son originalité, son concept.
Ce gros bébé est un page-turner, son succès mondial n’est plus à prouver, l’idée, le concept, du génie signé V.E. Schwab, mais j’ai trouvé -personnellement- qu’il souffre de quelques longueurs, ou plus précisément d’une grosse différence de vitesse sur certains passages. Tu me diras qu’à l’épaisseur, il faut s’y attendre, et je suis d’accord. C’est évident. Après je n’ai pas non plus eu envie de le refermer pour autant, loin de là, très loin de là, l’histoire est trop originale pour ça, car C’EST un véritable page-turner. Ça peut te paraître très brouillon comme réflexion, mais il faut lire le roman pour comprendre. C’est une vraie expérience.

Les personnages d’Addie et de Henry ont un rapport à leur situation qui leur est personnel et presque sur deux hémisphères tant ils ne le supportent pas de la même façon. Je me sens un peu seule, moi qui ai carrément souffert avec Henry, je sais qu’il ne fait pas l’unanimité. Par contre je suis d’accord, le charisme des personnages ne se vaut pas de l’un à l’autre et Luc est très au-dessus.

Je dois aussi te parler de l’objet, les choix pour cette édition sont assez culottés. Au premier regard j’ai mesuré toute la fragilité de la jaquette-calque et du blanc salissant de la couverture, ça m’a fait peur. Un instant j’ai même cru avoir été victime d’une contrefaçon, un instant seulement. Mais MAAIIIIS ces choix ont leur sens. Et sérieusement, plus culotté et plus original, tu meurs. Bref, fragile mais très sympa.


Et toi, tu as lu cet ovni ?

∴ TRÈS BONNE LECTURE ∴

𝙲𝚑𝚛𝚘𝚗𝚒𝚚𝚞𝚎 | LE ROYAUME SANS CIEL de Charlotte Ambrun

Bonjour,

Aujourd’hui je te parle du Royaume sans Ciel de Charlotte Ambrun aux éditions Magic Mirror, que je remercie pour l’envoi.

Un dôme. Miroitant et envoûtant. Comme une cicatrice sur l’éclat du ciel, un sortilège venu couper les habitants de Sombrak du reste du monde, il y a de cela dix années. Et sous ses reflets opalescents s’accumulent l’oubli et les peines. Que s’est-il passé ? Comment se déployait la vie avant que les saisons ne se figent dans ce royaume sans ciel ?
Entre les forêts brumeuses de Sombrak et les jardins labyrinthiques de Mirabilia, trois destinées vont s’entremêler. Celle d’une princesse au don secret qui fuit sa belle-mère, sorcière aussi belle que cruelle. Celle d’une jeune-fille traquée, qui cache son visage et sa culpabilité sous un chaperon rouge sang. Et celle d’une petite orpheline, trop curieuse, perdue dans un pays peuplé de créatures hybrides et de sucreries trompeuses …
Neieli, Chaneh et Aylis.
Derrière leurs prénoms, sous le dôme qui cloisonne leurs vies, se joue l’avenir de leur royaume.
Mais en ont-elles seulement conscience ?
Et se doutent-elles des forces ténébreuses qu’elles devront affronter ?

➼ 𝙼𝙾𝙽 𝙰𝚅𝙸𝚂

Tu connais mon amour pour le retelling et l’inspiration « conte » mais, bien plus qu’une revisite, il s’agit en réalité ici de trois contes qui s’entremêlent finement.
Lecture du mois de la fantasy, je t’avais déjà parlé de mon intérêt pour cette habile combinaison entre Blanche-Neige, Le Petit Chaperon Rouge et Alice au Pays des Merveilles. Une association réussie entre les contes, mais pas seulement. Le Royaume sans Ciel mêle également la magie, la nature et une atmosphère plus sombre.

Sans avoir réussi à me décroché un coup de cœur, j’ai quand-même apprécié ce titre et ses héroïnes. Son univers s’est particulièrement démarqué.
D’abord parce que c’était un peu une surprise, une bonne surprise.
Et malgré des allures proche de la jeunesse, j’ai trouvé mon compte dans l’originalité de ses associations et dans une part plus sombre du monde. L’auteure en joue très bien de son univers dark mais acidulé.
On y retrouve bien entendu les marqueurs et personnages originaux desdits contes, toutefois, ils sont très bien amenés et menés dans ce titre. Je trouve que l’auteure a su faire s’embrasser subtilement les contes aussi bien que les faire se percuter.

Une belle réappropriation qui m’a fait re-découvrir différemment l’univers des contes. Tout ce que j’aime.
Mais, même si j’ai passé un très bon moment, je ne sais pas trop ce qui m’a manqué. La lecture est agréable, l’histoire est très bien cousue et la plume est très belle. Mais, comme je l’ai dit plus haut, ça n’a pas été un coup de cœur.
Pourtant, j’ai aimé.

Ce titre est à l’image que je me faisais de sa maison d’édition, c’est-à-dire : créatif, original et riche du merveilleux.

∴ BONNE LECTURE ∴

𝙲𝚑𝚛𝚘𝚗𝚒𝚚𝚞𝚎 | GRISHA T1 de LEIGH BARDUGO

Bonjour,

Aujourd’hui je te parle du tome 1 de la saga Grisha de Leigh Bardugo, rééditée chez Milan pour la sortie de la série Netflix Shadow and Bone. C’est en réalité ma deuxième tentative avec cette saga. Si je n’avais que moyennement accroché pour Grisha, j’avais adoré -mais genre ADOOORÉ- Six of Crows. Bref, je voulais retenter le coup. Et j’ai plutôt bien fait.

Édition pour la sortie Netflix

Le royaume de la Ravka est maudit depuis des millénaires. Son destin repose désormais sur les épaules d’une orpheline. Alina a été recrutée par l’Armée pour accompagner les Grisha, de puissants magiciens qui luttent contre le brouillard maléfique qui déchire le pays. Quand son ami d’enfance frôle la mort lors d’un raid, Alina doit affronter ses peurs et sa destinée… Le monde des Grisha est dangereux et les pièges nombreux. À qui Alina pourra-t-elle accorder sa confiance, alors que la seule personne sur laquelle elle pouvait compter n’est plus en mesure de l’aider ?

➼ 𝙼𝙾𝙽 𝙰𝚅𝙸𝚂

Évidemment, j’étais bien plus familière avec l’univers que je ne l’étais la première fois, ça aide. Si tu connais déjà l’univers, tu sais ce moment d’adaptation à celui-ci. Déjà parce que le Grishaverse prend sa source à l’Est, en Russie. Un univers complexe qui, tant il est original, requière un peu de temps, aussi, cette fois, j’ai pris plus de plaisir à m’immerger.

L’autre défi concernait les personnages. Allez comme tout le monde j’ai kiffer l’énigmatique Darkling mais à comparer, je préférais les personnages de Six of Crows, et je les préfère encore aujourd’hui. LA NANA TROP RELOU, je sais. Cela étant dit, attention, j’aime quand même bien Alina. Ce qui m’avait surtout gênée la première fois, c’était les ambiguïtés. Je parle bien des ambiguïtés, pas des flous artistiques entourant les personnages, mais là-dessus difficile d’en dire trop si tu n’as ni lu les livres ni découvert l’univers à travers la série. Ce que je retiendrais de cette relecture c’est quand même bien ma redécouverte d’Alina. C’est un personnage vif, incisif et inspirant, je me suis sans doute bien plus concentrée sur sa personnalité et j’ai pu l’apprécier davantage.

En fait, même si ce n’est toujours pas un coup de cœur, je vais continuer sur ma lancée. Force est d’admettre que l’univers est toujours incroyable, riche de son originalité et fort des forces en jeu. Les personnages représentent bien celles-ci. Je ne peux vraiment pas m’arrêter en si bon chemin, je vais tout relire !

Je remercie PageTurners pour l’envoi de ce titre.

Aparté. Je ne peux pas poster sans parler, même juste vite-fait, de la série Netflix. Globalement, les avis sont bons. Et même si certains manques sont à déplorer pour cette première partie, je suis assez positive sur l’expérience. Et pour le coup, j’ai eu un coup de cœur quant au visuel. Le rendu de l’ambiance est dingue, même RoeignsBD a accroché. Et les costumes, on en parle ? Je les ai beaucoup trop aimés. Et toi, tu en as pensé quoi ?

∴ BONNE LECTURE ∴

𝙲𝚑𝚛𝚘𝚗𝚒𝚚𝚞𝚎 | L’ASCENSION DE CAMELOT T1 de Kiersten White

Bonjour,

Aujourd’hui je te parle du tome 1 de L’Ascension de Camelot : La Duperie de Guenièvre de Kiersten White chez DeSaxus.

La Duperie de Guenièvre

La princesse Guenièvre arrive à Camelot pour épouser le charismatique Roi Arthur, mais elle n’est pas celle qu’elle prétend être. Son vrai nom et sa véritable identité sont un secret.
La magie a été interdite dans le royaume et le sorcier Merlin qui en a été banni a trouvé un moyen de protéger le roi : faire de Guenièvre sa femme… et sa protectrice contre ceux qui veulent voir la ville du jeune souverain tomber.
Pour sauver la vie d’Arthur, sa nouvelle épouse va devoir naviguer dans une cour où les anciennes valeurs qui s’opposent au changement côtoient de nouvelles voix qui se battent pour un monde meilleur.
Mais au cœur de la forêt et dans les sombres profondeurs des lacs, la plus terrible des menaces attend pour récupérer ce qui lui est dû… Les chevaliers d’Arthur croient qu’ils sont assez forts pour faire face à n’importe quel danger, mais Guenièvre sait qu’il faudra bien plus que des épées pour garder Camelot libre.
Des joutes meurtrières aux trahisons et aux romances interdites, La duperie de Guenièvre propose une lecture inédite et fascinante de la plus grande des légendes. Le combat entre la magie et le fer, le bien et le mal. Une œuvre forte, novatrice et indispensable.

➼ 𝙼𝙾𝙽 𝙰𝚅𝙸𝚂

Une réappropriation des légendes arthuriennes qui, si elle garde les bases de celle-ci, détourne le personnage de Guenièvre, le titre te l’apprend : il y a duperie. Il y a surtout une grosse interrogation.
Une intrigue autour de celle qui doit duper mais qui est surtout un personnage en quête d’identité.
Le tome introduit les personnages qui te sont familiers mais une intrigue qui est plutôt bien ficelée, du moins : elle prend une voie qui, pour le moment, me plaît. Suffisamment twistée pour tenir une lecture assidue, et suffisamment proche des références qui ont mes faveurs ! Évidemment j’attends beaucoup du personnage d’Arthur, et dans ce tome l’auteure le présente avec un réalisme qui matche avec ce que j’ai en tête. Forcément, je suis emballée, j’ai hâte de voir la suite. Quand à Merlin, il participe aux interrogations qui accompagnent ce premier livre de la saga… 🤫
Je ne vais pas faire le tour de chaque personnage mais, même si je me fie aux personnages originels, et le sujet a assurément été bien travaillé par l’auteure, je pense que Kiersten White va nous surprendre.
Comme je le disais plus haut, ce premier tome a déjà ses rebonds et je reste prudente quant à ce que l’auteure nous réserve.
Je le rappelle : je me suis entendue avec la base de cette saga, qui n’aime pas les légendes arthuriennes ? L’auteure maîtrise son sujet MAIS, en même temps, arrive à porter une intrigue originale, qui tient la route, qui fait tourner les pages. Mais qui, toutefois, attend encore certains de ses développements. Vite la suite !
Un premier tome très engageant que j’ai beaucoup aimé. La réappropriation est réussie.

(Avant que tu m’en fasses la remarque, oui, je m’en suis volontairement tenue à ne juger que l’histoire. Tout a déjà été dit sur les défauts de traduction, qu’aurais-je eu à ajouter ? Surtout que, la ME ayant entendu ses lecteurs, des efforts ont été apportés pour corriger cela à l’avenir.)

∴ BONNE LECTURE ∴